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Fate
La vérité est bien souvent difficile a trouver
Sam 13 Fév 2016 - 1:56

 
    






Participants : 1° Charlotte / 2° Robin Hood / 3° X
Début du RP : 17 12 2013 | Dernier Post :  29 12 2013

Contexte : Décembre 2013 (Après un break en Août)

Période de la journée : Après-midi
Météo : Grand soleil
   
Pour "La vérité est bien souvent difficile a trouver", c'est parti !

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Fate
La vérité est bien souvent difficile a trouver
Sam 13 Fév 2016 - 2:03

 
    


CharlotteRobin ~ Charlotte

A lors qu'un soleil éclatant réveillait de sa chaleur les habitants de Storybrooke, une tempête bien plus obscure se préparait à sortir de ses gonds.. Prenant encore et encore de la vitesse au fil de ses tourbillons, un mini cyclone attendant le moment propice pour..
...se renverser sur son pantalon.
Laissant échapper un cri de surprise, la jeune femme se précipita avec maladresse sur sa petite serviette. Croyant avec ferveur que le minuscule chiffon allait par magie effacé les éclaboussures de café sur la cuisse de son voisin. Confuse, elle n'osait pas vraiment s'en approché car trop embarrassée pour oser éponger l'inconnu.

Je suis désoléeeeee, je ne n'avais pas vu...

L'homme après avoir sans doute été brûlé par le dangereux mélange caféiné, émit un rire moqueur en guise de réponse et s'épongea avec une autre serviette. Mais son rire n'avait rien de rassurant. Il se montrait même particulièrement blessant, lui adressant un regard de côté il n'ajouta rien et continua de l'étudier. Scarlett aurait souhaitée disparaître...

Il faut dire que ces derniers temps, elle était très préoccupée. Depuis le fameux "break" qu'elle avait proposé à Robin, la pauvre femme n'arrivait plus à penser à autre chose. Bien que cette décision de pause ne l'ai du tout satisfaite, et qu'elle est plutôt tenté un coup de poker sur le moment. Robin n'avait pas tenté de la retenir, du moins pas assez. Mais de toute évidence rien ne se passait comme au cinéma. Il n'y avait pas un Rhett Butler pour vous courir après, vous saisir le bras et vous embrasser passionnément sous le chœur grandissant de l'orchestre... Nen la fin de l'acte était en lui-même bien plus pathétique. Laissant Scarlett taper du pied dans un caillou pour le projeter dans le lac. Les poings serrés dans le fond des poches de son pantalons, elle était rentrée chez elle en bougonnant...

L'humeur boudeuse de la gamine durai depuis quelques temps. Bien assez en réalité pour que chacun qui la connaisse, remarque en elle un profond changement... Un masque froid et triste peignait son air d'habitude si enjoué. Elle avait bien conscience qu'aucun véritable drame ne s'était produit. Et que sa vie pouvait continuée d'avancer. Mais elle ressentait au plus profond de son être un certain malaise. Un sentiment désagréable que derrière ce qu'ils avaient fait, se cachait quelquechose de bien plus grave. Elle savait que Robin ne lui disait pas tout... Elle en était persuadée...

A présent dépourvue de son remède tonique, la jeune femme reposa son bras droit sur le comptoir du bar dans un soupir grave. Avant d'appuyer son front dans la paume de sa main. Elle ne se souciait déjà plus du sort que pouvait avoir cet inconnu, ni de son regard sur elle. La jeune femme regrettait déjà le contact chaud du verre entre ses mains. Elle se serait délecté de sentir sa caresse se glisser dans sa gorge et sa poitrine avant d’atterrir sur ses reins... Elle réprima un frisson. Elle était frigorifiée. La fatigue qui s'accumulait au fils des jours, et des nuits qu'elles passaient sans parvenir à se reposer, commençait aussi à se ressentir. Elle était à bout de nerfs...

C'est alors que l'homme qui n'avait cessé de l'observer d'un regard de travers, pris la parole d'un air complexe entre la plaisanterie et l'attaque.

Est-ce là une coutume ? Car si cela vous met plus à l'aise je peux très bien vous rendre la pareille...

Médusée de surprise, la jeune femme releva la tête avant d'adresser un regard mauvais à son interlocuteur. Au vu de son état mental, Scarlett ne pouvait laisser cette attaque sans répartie. Sa colère monta, en même temps que la couleur de ses joues. Mais l'homme face à elle ne se laissai pas faire.

Vous n'allez pas en faire un fromage quand même ... Ce n'est que du café !
Et ce jean ne m'aura coûté que 200 dollards !
Hé bien ! ... Ca vous apprendra à mieux gérer vos dépenses ! On ne peux pas sereinement mettre tant de sou dans un simple pantalon... vous auriez très bien pu, être arrosé par le passage d'une voiture dans une flaque. Qui au passage sera dix fois plus crasseuse que mon café !
Oui, mais ce n'est pas le cas !
Alors dites vous que si !


Détournant le regard vers les autres occupants de la pièce, Scarlett souhaita éviter de prolonger l'altercation. Tout en maudissant le personnage... C'est alors qu'il la pris par le bras et l’entraîna avec virulence sur le trottoir. Les deux énergumènes s'échangèrent alors bien des politesses...

C'est ainsi qu'elle avait fait sa rencontre. Un homme particulièrement acerbe qui ne s'était pas montré très enchanté par la nature comique de leur entrevue. Il lui avait tout d'abords fourni moult reproches, sans le moindre fondement, ce à quoi, elle avait répondu. Sans doutes étaient-ils tout deux en prédisposition à la colère. Le fait était que aucun des deux ne souhaitait s'avouer vaincu. Scarlett rétorquait à chaque fois, montant en degré son agacement, se débattant pour qu'il la relâche. Puis elle en vint à le comparer à Robin. Dévoilant ainsi la nature de ses soucis émotifs, le destin qui se jouait d'elle, et tous ces bonhommes qui derrières leurs belles paroles n'étaient que des lâches, et des menteurs. L'homme s'était alors calmé un peu, comme s'il était intrigué par son histoire. Même s'il se refusait de baisser totalement les armes.

Vous apprendrez que nous ne sommes pas tous comme ça ...

Répondit-il en rajustant le col de sa chemise. Laissant enfin sa proie récupérer ses membres endolorit par le malmenage. La jeune femme se massa le poignet en grimaçant.

Moui.. c'est ce qu'ils disent tous ... Avait-elle achevée dépitée.

Il lui dit alors son métier et partagea avec elle quelques récente preuve qu'ils y avait des exceptions, mais surtout des fois où c'est la femme qui est bien plus vicieuse. Et pour cause, il ne lui dit pas, mais il en avait lui-même profité à une époque. Cette pensée ironique semblait l'avoir totalement détendu, si bien qu'il confia à la jeune femme l'envie d'en savoir plus sur son histoire... C'était son instinct après tout, il était détective, il adorait fouiner dans la vie des gens...

Pourtant réticente à se dévoiler ainsi à un inconnu, la jeune femme était dans une telle détresse affective, qu'elle ne sut résister à la tentation de partager sa peine. Marchant côte à côte, ils se découvrirent alors et décidèrent de coopérer. Scarlett, engagea, -même si elle ne supportait pas ce terme-, le détective pour en savoir un peu plus sur son petit ami.
Mais l'idée de ce qu'elle s’apprêtait à faire la hantait. Ce n'était pas facile d’admettre qu'elle avait des doutes à son sujet. Ce n'était pas simple de dire qu'elle s'était trompée et que le seul moyen de comprendre ce qui se passait était de fouiller dans sa vie... Mais Nathan était un homme persuasif, et au final pas si mauvais bougre qu'au premier abord... Peut à peut elle apprenait à lui faire confiance et à dévoiler ses craintes. Elle ne détailla pas tout d'un coup, bien sur, tout cela demanda du temps. Plusieurs mois même. Mais ce jour là, c'est comme à un ami, qu'elle avait donné rendez vous à Nathan. Au même café ou bien avant, ils s'étaient fait remarquer. Il était là, assit à une table l'air pensif. Elle s'approcha de lui et le salua.

Bonjours Nathan.
Vous avez déjà commandé ?

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Fate
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Sam 13 Fév 2016 - 2:06

 
    


Robin
Robin ~ Charlotte

« ...obin...R...in tu m'entends? Robin!!»
«Hein, quoi?!»

Sursautant violemment, Robin finit par reprendre ses esprits, complètement perdu. Il n'avait rien suivit de ce qu'avait dit son collègue. Il faut dire qu'en ce moment il avait la tête ailleurs.

«Désolé... Tu disais?» Dit-il, tout en se massant le front. Un petit manège qui ne manqua pas d'attirer l'attention de son collègue qui depuis plusieurs jours avait bien remarquer que son collègue n'était plus vraiment le même, comme si quelque chose le tracassait, ce qui était le cas d'ailleurs.

«Dis mois, tout vas bien ? Tu sembles ailleurs ces derniers temps et il n'y a pas que moi, tout le monde l'a remarqué..... Tout vas bien ? Tu sais si tu veux...»

Robin le coupa court, ne voulant pas subir le monologue de tu sais que tu peux tout me dire et etc..

«C'est compliqué....Désolé, mais je n'ai pas très envie d'en parler.»

Il comprenait les intentions de son collègue, mais il n'avait vraiment aucune envie d'en parler. Bien qu'il soit quelqu'un de très sociable, il n'est pas le genre de personne qui se confie facilement. Il n'a jamais aimé parler de lui-même, encore moins parler de ses doutes et de ses peurs. Tout simplement parce qu'il n'en ressent pas l'envie, cela n'y changerait rien de toute façon, alors à quoi bon ennuyer les gens avec ses histoires. C'est pour cette raison et bien d'autres qu'il refoule tous en lui.

Fouillant dans sa mémoire, il essayait se rappeler un détail, un nom, un visage qui pourrait enfin lever le voile sur ce mystère et dissiper ses craintes, mais rien. Il avait vécu tellement d'aventures aussi, comment se rappeler d'un petit détail avec de si maigres indices. D'autant que Scarlett occupait la moindre de ses pensées. Il ne pouvait s'empêcher de penser à elle, se demandant ce qu'elle pouvait bien faire, comment elle allait. Plusieurs fois il avait tenté d'aller la voir pour s'excuser, un soir il arriva même jusque devant la porte de son appartement. Le souffle court après avoir couru jusque là, il s'apprêtait à frapper à la porte, mais s'arrêta net dans son mouvement, plaquant son front contre le bois de la porte. Son cœur battait fort dans sa poitrine, puis il se mit à douter. Qui était-il pour débarquer comme cela chez elle après ce qu'il lui avait fait. Croyait-il vraiment qu'elle allait lui pardonner comme cela et que tout redeviendrait comme avant ? Plus rien ne serait comme avant. Peut être même avait-elle déjà tourné la page, même s'il doutait que Scarlett soit ce genre de personne. Ne voulant pas lui faire plus de mal que cela, il fit marche arrière et retourna dans son appartement. Les jours passèrent ensuite, pendant lesquels il tenta de s'enlever Scarlett de son esprit, mais quoi qu'il fasse, un simple détail anodin, comme une couleur, un son le ramenait à elle.

Finissant d'avaler son café, il quitta la salle des professeurs, pour se diriger vers le gymnase. La journée aller être longue, comme toute les autres depuis un moment.... Comme pour compenser le vide émotionnel qu'il ressentait, il se donna corps et âme dans son travail (encore plus que d'habitude), prenant soin d'avoir toujours quelque chose à faire. Il espérait ainsi pouvoir chasser ses sombres pensées, bien qu'à vrai dire il ne faisait que fuir la réalité. Mais que voulez vous, personne n'est pas parfait et bien que cela peut en étonner plus d'un, même Robin des bois peut se montrer faible et lâche. Il est comme n'importe quel humain après tout. Ce genre de crise le dépasse et ne sachant pas comment gérer la situation, il préfère prendre ses distances, de peur d'aggraver la situation. Une fois sa journée passé, il rentra d'un pas mou chez lui pour y prendre une bonne douche. L'eau lui fit lui plus grand bien, à tel point que s'il n'avait pas à payer ces satanés factures, il serait bien resté la soirée. Après une longue douche, il se coucha de bonne heure, épuisé bien que sa journée fut comme toutes les autres.

Le matin arriva bien vite, trop vite pour lui. L'esprit tourmenté, il avait enchaîné cauchemars sur cauchemars, jusqu'à ce que la fatigue prenne le dessus. Heureusement que c'était le week-end. Après s'être préparé, il se dit que ce serait le bon moment pour passer au Granny, Il croiserait peut-être quelqu'un de sa connaissance qui pourrait lui changer les idées. Au pire, il pourrait toujours s'aérer l'esprit lors de son footing ensuite. Il entra donc au Granny, sans prêter plus attention que cela aux personnes s'y trouvant déjà. Ruby était déjà là, elle l’accueilli avec un sourire et pris sa commande. Il profita de l'attente pour laisser glisser son regard à travers la pièce. C'est là qu'il l’aperçu: Scarlett. Pourquoi, alors qu'il faisait tout pour l'éviter, tout pour ne plus penser à elle, il fallait qu'il l'a croise ici ? De toute manière, elle ne semblait pas avoir remarqué sa présence et était même accompagné. Il se stoppa net lorsqu'il reconnu l'identité de l'homme face à elle. Le souffle coupé, il regarda avec stupeur cette étrange scène. Cela ne pouvait pas être possible, il devait encore rêver, ce ne pouvait être que ça. Alors, toute cette matinée n'était qu'un rêve ? Il se pinça très fort jusqu'à s'en faire une marque sur la peau. «Aie !» Bon, ok, il ne rêvait pas. Alors c'était bien le shérif, le même shérif de son monde qui discutait tranquillement avec Scarlett autour d'une table.

Cela faisait un moment qu'il connaissait le shérif. De nombreuses fois leurs chemins s'était croisés et bien que ce ne soient que des entraperçus, il en savait assez pour savoir que le shérif n'était pas quelqu'un de fréquentable. C'est une personne cruel, dénué de tout bon sens et avide de pouvoir. Qui sait ce qu'il pouvait bien manigancer avec Scarlett. Une chose est sûr, il n'allait pas le laisser lui faire du mal. Adossé contre le bar, il observa la situation de loin. Pour l'instant, cela ressemblait à une simple discussion, mais le simple fait de revoir le shérif le rendait nerveux. Il n'avait vraiment aucune confiance en ce type, pire que cela, il ne pouvait pas l'encadrer. Il était prêt à aller les voir là tout les deux, afin d'arrêter cette mascarade, il était d'ailleurs surprit que Scarlett s'est laissé avoir par ce beau parleur de shérif. Fort heureusement pour lui, la chance fut de son côté. Il aperçu le shérif s'excuser auprès de Scarlett, puis prendre un appel alors qu'il se dirigeait vers la sortie. Il lui suivit comme un prédateur traquant sa proie. Le shérif pris droite et s'engagea dans une petite ruelle juste à côté. Robin se trouvant maintenant derrière lui, il lui asséna un bout direct du poing qui fit vaciller son ennemi. Il le regarda ensuite droit dans les yeux.

«Bonjour, shérif. On s'amuse ?»

Le shérif émit un ricanement qui ne manqua pas de l'agacer. Il semblait parfaitement calme et avait ce même air supérieur qu'il le caractérisait bien.

«Je dois dire que je vous ait surestimé. Je ne pensais par qu'une vermine dans votre genre est pu survivre.»

Robin le plaqua violemment contre le mur, l'empoignant par le col de la chemise, puis le fixa droit dans les yeux d'un regard noir. Il n'avait que faire de son baratin, il ne voulait qu'une chose, qu'il n'approche plus jamais Scarlett.

«Je ne sais pas ce que tu manigances avec Scarlett, mais tu vas arrêter ça et tout de suite. Je ne te laisserais pas lui faire du mal. Elle n'a pas besoin de ça.»

«C'est une menace ?» Répondit insolemment le shérif, comme s'il s'agissait d'une plaisanterie. Robin relâcha sa prise, fixant toujours aussi intensément le shérif. S'il pouvait le tuer d'un simple regard, ce serait sûrement déjà fait.

«Nous ne sommes pas dans la forêt de Sherwood ici. Tu ne peux rien contre moi, en revanche je n'aurais aucun scrupules à te refaire le portrait si je te surprend encore une fois ensemble. Maintenant va t'en !»

Après quoi, il vit le shérif quitter la ruelle sans rien ajouter de plus. Lui, resta où il se trouvait et finit par frapper violemment le mur, de rage. Il n'était pas d'un naturel violent, mais tout cela commençait à faire trop pour lui. Pourquoi fallait-il que le destin s'acharne contre lui ? N'avait-il pas le droit à une vie calme et normale comme tout le monde ? Pourquoi... Fermant les yeux, il souffla un grand coup pour se calmer. Il n'avait pas le courage de retourner au café, mais il avait grand besoin d'un café ou de quelque chose de plus fort même.



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