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Anonymous



Invité
Happy New Year... [Tombola Hivernale]
Dim 3 Mar 2013 - 15:11

 
    






Happy New Year...
Eliott St John + Ryan Spencer + Milah Jones





















Once Upon a Time...

Prénom & Noms des participants : Eliott St John, Ryan Spencer et Milah Jones
Date où se déroule le sujet : La nuit du premier janvier
Période de la journée où se déroule le sujet : Minuit est à peine passé
Météo : L'hiver est bien présent, et avec lui son manteau blanc qui recouvre entièrement Storybrooke et ses alentours. La température avoisine les -10° mais la neige a cesser et le ciel est dégagé. Cependant, une épaisse couche de verglas recouvre peu à peu toutes les routes.


Once Upon a Time...


Once Upon a Time
Neverland

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Anonymous



Invité
Happy New Year... [Tombola Hivernale]
Dim 3 Mar 2013 - 15:25

 
    


Happy New Year...

Il était difficile à croire que cette petite maison en bois, isolée au cœur de la forêt, abritait un cabinet vétérinaire. Pourtant, lorsque Eliott l'avait vu pour la première fois, cela lui avait semblé évident. C'était l'endroit idéal pour s'installer. Suffisamment éloigné de Storybrooke pour ne pas être importuné par ses habitants, mais assez proche pour pouvoir s'y ravitailler et trouver une clientèle. Il avait dû faire preuve de beaucoup de patience et de diplomatie avant de pouvoir acquérir la maison auprès de la mairie. Mais il ne regrettait pas les concessions qu'il avait dû faire. Quand il avait enfin pu s'y installer, il avait dû reconnaître que c'était bien la première fois qu'il se sentait chez lui à Storybrooke.

Les parties privées et professionnelles étaient bien distinctes. Le cabinet vétérinaire était simple, fonctionnel, avec peu de décorations. Il n'avait pas été imaginé pour que les êtres humains s'y sentent bien, mais pour que les animaux y soient en confiance. Aussi pouvait-on y trouver des gamelles remplies d'eau et de nourriture, des endroits où se cacher, d'autres pour se faire câliner sur un coussin moelleux au coin du radiateur. La partie habitation de la maison était par contre beaucoup plus douillette et chaleureuse. Certes, la décoration faite de bric et de broc ne pouvait pas plaire à tout le monde, mais c'était un nid confortable qu'Eliott s'était confectionné. Il n'y avait pas de meubles fantaisistes, de tableaux luxueux ou de matériel hi-fi dernier cri, mais le propriétaire des lieux se satisfaisait de son confort parfois rudimentaire. Ce n'était pas par manque de moyen qu'il vivait ainsi, mais plutôt par désintérêt profond pour les dernières modes en matière de décoration. Eliott était persuadé de n'avoir besoin de l'avis de personnes, encore moins de parfaits inconnus, pour meubler son domicile. Il en était de même pour le reste de sa vie. Pendant longtemps, plus jeune, il s'était volontiers fié au jugement d'autrui. Dorénavant, il ne voulait compter que sur lui-même.

En ce moment, il s'affairait dans la salle de repos de la clinique vétérinaire. Généralement, on y trouvait chats, chiens, lapins et autres animaux domestiques. Mais il semblait qu'en ces temps glaciaux les propriétaires d'animaux de Storybrooke préféraient garder leurs petites bêtes bien au chaud à l'abri des mauvais rhumes et autres aléas de l'hiver. Toutefois, Eliott avait de quoi s'occuper. Car, si la population animale de Storybrooke était chouchoutée, il en était tout autre pour les habitants de la forêt. Depuis le début des intempéries, le jeune homme n'avait eu de cesse de récupérer au cours de ses promenades tout un tas de créatures mal en point. Un jeune écureuil en état sévère de malnutrition, une famille de hérissons transis de froid, quelques chats sauvages blessés et un fier castor qui semblait s'être abîmé la main. Le jeune vétérinaire s'était empressé de venir au secours de chacun et les avait confortablement installés dans des cages où ils recevaient soins et nourriture en attendant qu'ils aillent mieux et que le temps se réchauffe un peu.

Techniquement, il n'était pas autorisé à accueillir autant d'animaux sauvages dans sa clinique, mais cela faisait bien longtemps que Storybrooke n'avait pas reçu la visite des services vétérinaires de l'État. Et puis, il savait y faire avec ce genre d'animaux, les ayant observé attentivement toute son enfance et ayant accentué ses études sur leur cas. Aussi ne s'inquiétait-il pas trop des conséquences. De toute façon, personne ne cherchait à savoir ce qu'il faisait dans sa clinique quand il ne recevait pas de patients. C'était un des avantages à vivre éloigné du reste du monde. Eliott venait juste de terminer sa dernière visite à ses petits pensionnaires et était prêt pour une bonne nuit de sommeil. Il s'assura une dernière fois que chacun avait suffisamment à manger pour la nuit et éteint la lumière avant de quitter la pièce. Il était temps pour lui de retirer sa blouse et d'aller se prélasser avec un bon livre au coin du feu en attendant que Morphée vienne le chercher. Enfin, c'était sans compter l'intervention de son vieux chat qui attendait impatiemment dans la cuisine que la gamelle de croquettes se remplisse. Eliott lui servit de quoi passer la nuit et adressa au vieux matou une caresse amicale sur le dessus du crâne. Il pouvait rester des heures ainsi, à caresser et regarder l'animal vivre sa vie de chat. Cela le détendait toujours énormément.

Contrairement aux coups de téléphone nocturnes. Avec agacement, le jeune décrocha le combina et marqua son désappointement par un soupir appuyé avant de se présenter. C'était une vieille dame de Storybrooke qui s'inquiétait parce que son chat éternuait depuis quelques minutes seulement. Mais aussitôt la propriétaire angoissée pensait coryza. Eliott tenta bien de la rassurer, mais il connaissait suffisamment le personnage pour savoir que c'était peine perdue. Il lui expliqua que par ce temps, à cette heure et dans ces conditions, il facturerait un supplément conséquent à sa consultation à domicile. La vieille dame n'en avait que faire et insista pour que le jeune vétérinaire vienne au plus vite avant de raccrocher. Eliott soupira à nouveau en regardant le fauteuil confortable qui l'attendait devant la cheminée où s'agitaient de puissantes flammes. Ce n'était pas pour tout de suite. Prestement, il se saisit d'un manteau bien chaud, enfila une paire de bottes rembourrée, attrapa une écharpe et, après une dernière caresse à son vieux camarade, se dirigea dehors. Il se rendit alors compte que cela faisait bien une bonne semaine qu'il n'était pas allé à Storybrooke. C'était en partie dû aux conditions météo. Mais on était en pleine période de fête et Eliott avait toujours trouvé cette époque de l'année particulièrement pénible.

Toujours est-il que la neige semblait avoir cessé pour l'instant. Mais tout autour de la maison, elle s'entassait sur un bon mètre et semblait partie pour tenir. Eliott prit son courage à deux mains et s'avança d'un pas décidé à travers la poudreuse. Malgré l'épaisse couche de vêtements qui le recouvrait, il grelottait de froid. Il du ralentir son pas en constatant que sous la neige se cachait une épaisse couche de verglas plutôt vicieuse. À petits pas, réfléchis, il progressa lentement vers son vieux pick-up bleu et remercia le ciel d'avoir pensé à équiper les pneus de chaînes avant qu'il ne soit trop tard. Il effectua un dernier effort pour déneiger sommairement son véhicule et avec soulagement se plaça au volant. Son premier réflexe fut de mettre le contact et de pousser le chauffage au maximum. Il était littéralement frigorifié. Il ne s'imaginait pas que la météo serait aussi compliquée. Malgré tout, il s'était engagé. Et puis, après tout, cela lui ferait peut-être du bien de voir d'autres êtres humains.

L'intérieur du pick-up était un drôle de capharnaüm. Mais le jeune homme savait s'y retrouver. Il y avait bien entendu sa trousse de vétérinaire, qui trônait sur le siège passager, paré à répondre à la moindre urgence. On apercevait également une paire de gants épais, il n'était pas rare que les services de la ville fassent appel à lui pour déloger un blaireau coincé dans une ventilation. Et Dieu sait que ces petites bêtes avaient la dent dure. Pour agrémenter le tout, on pouvait trouver un nombre incalculable de prospectus et autres papiers plus ou moins gras en tous genres, traînant de-ci de-là. En regardant tout ce bazar, il se dit qu'il serait peut-être temps de ranger. Mais comme à chaque fois, cette saugrenue idée s'effaça aussi vite qu'elle était venue. Après avoir passé sa ceinture, il démarra la voiture et avec précaution entreprit d'atteindre la route principale. Il n'appréciait pas particulièrement de conduire dans ces conditions, mais il n'était pas du genre à renoncer à la première contrariété.

Au moins, il n'était pas dérangé par les autres conducteurs. La route était déserte, recouverte d'un blanc manteau. Il était compliqué de voir ses limites, aussi Eliott prit la décision de se placer au milieu de la route. Il serait dommage d'avoir un accident. L'air de rien, il tenait à son vieux pick-up. Il l'avait acheté lorsqu'il était revenu vivre à Storybrooke, cela avait été son premier achat conséquent. C'était une sorte d'extension de sa maison. Lorsqu'il était en ville et que les mauvais souvenirs du passé lui revenaient, il aimait à s'isoler dedans et regarder les habitants vivre leur vie. Il était conscient que cela n'arrangeait en rien sa réputation d’ermite, mais il avait besoin de ces temps de pause pour ne pas craquer. Parfois, il regrettait d'être revenu vivre ici, mais il avait également l'étrange sentiment qu'il ne pouvait en être autrement.

Pour chasser ces mauvaises pensées, il alluma la radio. La réception était plutôt mauvaise. Il tournait tranquillement les boutons à la recherche d'une station audible sans quitter la route des yeux. Eliott finit par tomber sur une fréquence perceptible. L'animateur diffusait de vieux standards et entrecoupait chaque morceau par l'intervention d'auditeurs qui faisaient part au monde entier de leurs bonnes résolutions et de leurs vœux. Il réalisa enfin qu'on était le soir du nouvel an. Eliott détestait cela. Il avait passé Noël seul, à travailler et à vivre comme si de rien n'était. C'était toujours mieux que les Noëls de son enfance. Pour lui, la profusion de bons sentiments qui étouffait cette période de l'année n'était qu'une façon égoïste pour ses congénères de masquer la décadence ambiante. Ce n'était rien de plus qu'un cache-misère pitoyable. Eliott préférait voir le monde tel qu'il était, rongé par la médiocrité et la vanité. Évidemment, il était conscient que tout cela le rendait un tantinet aigri. Mais il avait l'habitude de se considérer comme un vieux chat mal léché. C'était dans sa nature.

Cependant, il fut contraint de sortir de ses réflexions intérieures lorsqu'une petite lumière attira son attention. De toute évidence, il n'avait pas pensé à remplir le réservoir depuis un moment. La jauge était au minimum et le clignotant lui indiquait qu'il était temps de faire le plein. Bien entendu, la station-service était de l'autre côté de la ville. En regardant autour de lui, Eliott dut reconnaître que la situation n'était pas à son avantage. Il pouvait toujours faire demi-tour, mais d'après son estimation il tomberait quand même en panne en pleine nature, loin de tout le monde. Et il n'avait pas particulièrement envie de marcher par un temps pareil. Non, il devait se rapprocher au maximum de Storybrooke, il pourrait plus facilement contacter un garagiste à l'abri là-bas. Il continuait de rouler tout en jetant sans cesse de rapides coups d’œil à la jauge d'essence. Ce qui devait arriver arriva. La voiture émit un étrange grondement et, après quelques à-coups, finit par s'arrêter définitivement. Eliott avait eu le bon réflexe de la mettre sur le bas côté. À première vue, il devait être à 10 minutes à pied de la ville. Il fouilla dans son manteau, mais dû se rendre à l'évidence, il avait oublié son téléphone portable. C'était vraiment la poisse. De colère, Eliott tapa furieusement sur le volant. À mesure que le klaxon retentissait, il se résigna à l'idée de devoir rejoindre la ville à pied.

C'était jouable. Il enfila la paire de gants qui attendait sur le siège passager et ouvrit la portière. Aussitôt, il fut saisi par le froid. C'était pire que ce qu'il avait imaginé. Grelottant, il posa un pied par terre. Il sentit son pied se dérober. La couche de verglas était toujours là. Tout cela s'annonçait compliquait, mais il devait continuer. Il attrapa sa trousse vétérinaire et, après une longue bouffée, se lança sur la route. Cette vieille folle avait intérêt à se montrer reconnaissante. C'était un véritable enfer de se déplacer. La route s'avérait plus compliquée que prévue. À plusieurs reprises, Eliott manqua de se retrouver étalé au sol. Cette perspective ne lui plaisait pas du tout. Il maugréait en avançant à petits pas. Il s'en voulait maintenant de ne pas avoir refusé en bloc la requête de la vieille dame. Cela aurait été tellement simple. À présent, il maudissait son éthique professionnelle. Mais un bruit attira son attention. Il se retourna, et crût déceler une lumière qui approchait au loin. C'était une voiture. Aussitôt, il se plaça au milieu de la route en agitant les bras. La voiture ralentit à son approche puis s’arrêta. Il était ébloui par les phares. Rapidement, en évitant la glissade, il alla se mettre au niveau du conducteur et tapota contre la vitre.

Je suis en panne, vous pouvez me déposer en ville ?

Son sauveur accepta tout naturellement. Eliott n'en demanda pas plus et alla aussitôt s'installer sur le siège passager. Il était gelé et soufflait frénétiquement sur ses mains gantées en espérant que cela allait le réchauffer. Il ne connaissait pas l'homme qui avait accepté de l'aider. Mais son visage lui disait quelque chose, il avait déjà dû le croiser en ville. Néanmoins, il était toujours de mauvaise humeur et n'avait pas particulièrement envie de faire la discussion. Tout ce qu'il désirait en ce moment c'était se mettre au chaud. Toutefois, il ne voulait pas être impoli et devait bien admettre que l'étranger l'avait sauvé d'une hypothermie sévère.

Merci de vous être arrêté.

Il devait bien reconnaître qu'il existait encore dans ce monde des personnes un tantinet charitable. Mais pour autant, cela ne remettait pas en cause ses théories farfelues sur la nature humaine. Eliott regarda un instant le visage du conducteur. Il remarqua alors qu'ils venaient d'atteindre le bord de mer. Il n'osait imaginer la température de l'eau, il avait déjà suffisamment froid comme ça. Et puis, il ne savait pas vraiment pourquoi, mais regarder la mer l'avait toujours angoissé. Son apparente placidité cachait mille dangers qu'il n'avait pas envie de croiser. Aussi préférait-il la terre ferme. Maintenant, il frissonnait, mais il ne savait pas si c'était la température ou la vision de l'eau sombre et glaciale qui produisait cela.


Ryan Spencer

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Ryan Spencer
Happy New Year... [Tombola Hivernale]
Dim 24 Mar 2013 - 20:12

 
    















« L’automne est une mutation, l’hiver une lutte, le printemps un épanouissement. »


L'hiver est la pire de toutes les saisons. La vie semble avoir disparu de ce monde, les arbres sont nus, mais de petite stalactite de glace se forment comme si les arbres sortait leur plus beau bijoux qui brillent et éblouissent au soleil pour aller au bal. Les terres, elles, sont recouverte d'un épais manteau de neige et de glace faisant disparaître tout petite animal et si par malheur certains chercheraient à défier l'hiver, alors soit il en sortirait perdant et blessé, soit perdant et mort. Les plus censé eux partent dans le sud à la recherche des terres nouvellement chaude, où abondent nourriture et eau. Mais un autre type d'animal, lui résiste à cette hiver. Deux catégories se distingue, l'animal qui hiverne ou hiberne, lui, a la particularité de pouvoir résister aux attaques rude de l'hiver en ayant une activité très réduite ou encore même en dormant tout le long de l'hiver. La seconde catégorie, c'est nous, l'Homme. Il est clair que c'est le plus fou de tous, alors qu'il pourrait rester tranquille chez lui, il sort et met chaque jours ça vie en danger. D'autres vivent dans la rue et défient eux aussi l'hiver. Nombreux sont ceux qui n'y résiste pas.

Ryan Spencer fait partie de ces gens complètement fou, qui sortent l'hiver. Malgré le fait qu'il déteste le froid de l'hiver, il aime cette saison pour la beauté quelle apporte. Selon lui, l'hiver vient pour purifier le monde et dans ce processus, elle apporte avec elle une beauté qui lui est unique.
C'est pourquoi après avoir passer la fête de la nouvelle année chez Manco, il décida de partir en voiture prendre des photos de la nature habillé de son manteau blanc.
Pour lui rien n'était laid, tout était beau. Il prenait chaque arbre, chaque pleine, chaque maison, chaque forêt percer par de léger rayons lumineux scintillant procurer par la luminosité de la lune. Il eu même la chance de prendre en photo quelques animaux tel que le L'élan et autres petit mammifère.

Après avoir pris de nombreuse photo, Ryan décida de prendre son véhicule et de partir en direction de l'océan pour prendre en photo ces eaux déchaînées. Mais voilà que sur le chemin, il rencontra un homme sur la bat côté de la route à côté de sa voiture. Heureusement, Ryan avait pu le voir alors même que la neige empêchait de voir à plus de 50 mètres. Le jeune homme vint près de la fenêtre et demanda à notre chauffeur si il pouvait le prendre. Bien sur Ryan ne pouvait pas refuser et l'autorisa à prendre place dans son véhicule. L'homme avait avec lui, une mallette, il était surement médecin ... Tout le long du trajet, on sentait qu'un froid s'était installé dans la voiture, l'homme ne voulait pas vraiment parlé et Ryan ne voulait pas le déranger et n'engagea donc pas la discussion.
Puis l'homme remercia Ryan de s'être arrêté. Il lui répondit que c'était la moindre des choses vue le temps qu'il faisait.
Avant de partir en ville reposer l'homme, Ryan voulait absolument partir près des falaise pour prendre ces fameuses photo.
Une fois arriver près des falaises, Ryan proposa à l'homme de sortir si il le voulait et qu'il ne mettrait pas beaucoup de temps. Curieusement ici la neige était moins abondant qu'en ville, c'était parfait pour faire de belle photo et bien clair. Il mis le frein à mains puis coupa le moteur avant de sortir du véhicule.
Une fois sortie, Ryan se mit à prendre des photos depuis le haut de la falaise, jusqu'à se qu'il voit, un petit pont en bas de la falaise qui passait sur cette océan déchaîné. Il dévala les escaliers en marchant rapidement. Il en profita pour demander comment l'homme récupérer sur la route s'appelait. Il fallait bien qu'il l'appel par son nom quand il voudra lui parler.
Ils arrivèrent enfin à quelques mètres de cette tempête qui frappait la roche, Ryan Spencer n'est pas vraiment conscient du danger dans le-quel il se met.









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